D’où vient cette méthode?
Les premières expériences de pédagogie inversée, sont nées à Harvard dans les années 1990 avec un professeur de physique, Éric Mazur. Celui qui a réellement développé le concept est un mathématicien américain, Salman Kahn, qui avait publié des vidéos sur YouTube en 2004 pour aider des enfants de sa famille en mathématiques. Il réalise que des centaines de personnes consultent ses vidéos. Rançon du succès en 2010, la fondation Bill Gates et Google lui offrent 3.5 millions de dollars. Il fonde la Kahn Academy, qui prône un espace web d’apprentissage gratuit et libre pour tous.
extrait du site http://mathinverses.weebly.com/ de V. Beguin et L. Viatour, page visitée le 3 août 2015.
D'où vient cette idée?
Après une analyse des résultats scolaires de mes élèves pendant quelques années, j'ai identifié de grosses difficultés pour maintenir actives les connaissances en chimie. L'enseignement traditionnel ne fonctionnant pas vraiment, je me suis inspirée d'une amie, professeur de Math à l'Institut de la Providence de Champion, et j'ai souhaité adapter ce qu'elle a mis en place pour les math aux sciences.
Et concrètement?
Les élèves reçoivent des cours sous forme de ressources en ligne (en général des vidéos) qu’ils vont pouvoir regarder chez eux à la place des devoirs, et ce qui était auparavant fait à la maison est désormais fait en classe, d’où l’idée de classe “inversée”.
J'attends des élèves qu'ils regardent les vidéos à la maison et qu'ils prennent des notes lors du visionnage de celles-ci.
En effet, la prise de note les forcera à suivre activement plutôt que de les regarder sans y prêter attention.
Pour forcer les élèves à la réflexion, un quiz est à remplir par les élèves. Un identifiant leur est attribué lors de leur inscription. Je peux ainsi vérifier si le travail a été fait et si l'élève a compris la matière qui lui était proposée. Un tableau récapitulatif des quiz entrepris par les élèves ainsi que leur niveau de réussite sera consulté et intégré dans les points de chaque période.
Les premières expériences de pédagogie inversée, sont nées à Harvard dans les années 1990 avec un professeur de physique, Éric Mazur. Celui qui a réellement développé le concept est un mathématicien américain, Salman Kahn, qui avait publié des vidéos sur YouTube en 2004 pour aider des enfants de sa famille en mathématiques. Il réalise que des centaines de personnes consultent ses vidéos. Rançon du succès en 2010, la fondation Bill Gates et Google lui offrent 3.5 millions de dollars. Il fonde la Kahn Academy, qui prône un espace web d’apprentissage gratuit et libre pour tous.
extrait du site http://mathinverses.weebly.com/ de V. Beguin et L. Viatour, page visitée le 3 août 2015.
D'où vient cette idée?
Après une analyse des résultats scolaires de mes élèves pendant quelques années, j'ai identifié de grosses difficultés pour maintenir actives les connaissances en chimie. L'enseignement traditionnel ne fonctionnant pas vraiment, je me suis inspirée d'une amie, professeur de Math à l'Institut de la Providence de Champion, et j'ai souhaité adapter ce qu'elle a mis en place pour les math aux sciences.
Et concrètement?
Les élèves reçoivent des cours sous forme de ressources en ligne (en général des vidéos) qu’ils vont pouvoir regarder chez eux à la place des devoirs, et ce qui était auparavant fait à la maison est désormais fait en classe, d’où l’idée de classe “inversée”.
J'attends des élèves qu'ils regardent les vidéos à la maison et qu'ils prennent des notes lors du visionnage de celles-ci.
En effet, la prise de note les forcera à suivre activement plutôt que de les regarder sans y prêter attention.
Pour forcer les élèves à la réflexion, un quiz est à remplir par les élèves. Un identifiant leur est attribué lors de leur inscription. Je peux ainsi vérifier si le travail a été fait et si l'élève a compris la matière qui lui était proposée. Un tableau récapitulatif des quiz entrepris par les élèves ainsi que leur niveau de réussite sera consulté et intégré dans les points de chaque période.